Le club de natation à Ambalangoda. |
Lever 9h00
On va au petit déjeuner.
Le chauffeur est déjà là devant la porte.
Ce matin c’était terriblement long en plus, entre la commande et le service.
Après embrouille au paiement de la première partie de notre séjour, on arrive à régler que ce qu’on doit.
On part pour aller pas très loin, voir l’association “Save the Children” qui avait commandé le rapport de 2006 sur le trafic des adoptions, à l’avocat qu’on n’a pas trouvé hier.
La personne qui nous reçoit semble découvrir, effarée, le problème et ne connaît pas le rapport. Elle propose qu’on prenne rendez-vous pour le 11 ou le 12 mars pour voir la personne en charge de ce type de dossier.
Cette fois on roule vers Ambalangoda. On ne connaît pas le chauffeur, mais il conduit avec prudence et je me demande si ce n’est pas plus dangereux que de conduire comme les Sri Lankais.
Arrivée au Sunrise Beach Inn, on se retrouve toujours sur cette plage d’Urawatta où nous avions imaginé une vie il y a quinze ans et cette vie ne s’est pas faite ici, mais il y a toujours quelque chose de cette vie imaginée, qui nous attend ici et qui nous accueille chaleureusement.
Le chauffeur nous laisse, il a fait son boulot. C’est à moi maintenant de prendre la voiture et de nous lancer dans le grand bain de la circulation au Sri Lanka.
Je connais bien la voiture, c’est toujours la même et ça me facilite la vie pour la conduite à gauche. Mais j’ai toujours une petite appréhension.
On va déjeuner au Sanekvine, c’est le grand restaurant le plus proche, on l’a vu ouvrir il y a une dizaine d’années.
Ici tout le monde nous connaît, à défaut de nous reconnaître.
Poulet frites et salade à la fois de fruits et de légumes, c’est particulier mais c’est bon et surtout un litre et demi de Coca Cola.
L’ATM pour financer la location de la voiture pour quinze jours.
On revient à la guesthouse pour porter notre linge à laver juste à côté.
Puis retour en ville pour faire réparer des bijoux en argent. C’est cher pour ici, 3€ mais ça n’a rien à voir avec le coût de ce type de réparation en France.
Retour sur notre plage et promenade.
On reste longtemps avec des clubs de natation qui entraînent garçons et filles à nager dans des vagues énormes. Les moniteurs veillent et vont repêcher ceux qui ne s’en sortent pas. C’est impressionnant et l’on sait pour avoir affronté ces vagues, qu’il ne faut pas avoir le moindre doute dans sa tête.
Ici c’est une plage où l’on ne se baigne pas, sauf si l’on a appris à gérer les vagues. Du temps où l’on habitait là, nous en avons vu des matamores revenir en nous disant vous aviez raison il ne fallait pas y aller.
Difficile de se baigner, pas de restaurant, les touristes cul sur chaise longue ne s’arrêtent pas.
Du coup, on est bien.
Il y a encore une activité de pêche qui donne vie et authenticité à ce lieu.
On boit une bière à l’unique hôtel restaurant qui sert à boire et à manger “quelque fois” : le Sea Breeze.
Ce soir, c’est bon pour la bière.
Coucher de soleil.
Les lamparos posés sur la ligne d’horizon.
On dîne aussi au Sea Breeze. Il faut dire qu’on n’a pas bien le choix si on veut s’éviter de marcher au bord de la route, ici on vient par la plage.
Mee Goreng et Nasi Goreng.
Entre la commande et le service, il s’écoule une heure, car la cuisine est mise en route que pour nous et ce qui se prépare n’est que pour nous.
D’un côté, le bruit de la route et de la voie ferrée de l’autre l’océan qui écrase avec force ses vagues contre la plage.
Dix minutes pour manger, hot et bon.
Retour à la guesthouse, un cockroach dans la salle de bain, belle bête de 5cm, il a fallu l’éliminer, car ici pas de boîte pour attraper les cockroach et les relâcher. De toute façon sans cockroach, ce n’est pas le Sri Lanka.
Douche
Blog
Dodo.
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