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Aéroport de Bangkok. |
Lever 9h00
Pas trop mauvaise nuit.
Petit déjeuner.
Les sacs sont vite prêts. Tout rentre malgré les achats.
On gardera en souvenir le terrible niveau de pollution de cette partie du pays, Bangkok qui a le charme d’une ville humaine, du fait d’un mélange encore équilibré d’ancien et de nouveau, le fleuve à l’intérieur de la ville, la frontière birmane au Nord-Ouest et les camps de réfugiés.
Le reste, c’est pour les vacanciers.
Le taxi est bien à l’heure et à midi, on attaque les formalités pour l’embarquement.
La Sri Lankan Air Line qui veut absolument voir nos visas alors qu’on peut les demander à l’arrivée, connaissant le zèle des administratifs, on avait demandé les visas par internet. On peut donc les leur montrer. Alors l’employé de l’enregistrement nous demande nos billets de retour du Sri Lanka, on peut aussi les présenter. C’est bon, on est pris sur le vol Bangkok-Colombo.
Au passage du sac cabine au scanner de la sécurité, Véro est bloquée. Elle a mis dans son sac ses affaires de dessin qui ne rentraient plus dans le sac soute. Dedans, il y avait deux lames de cutter qui ont vite été repérées, ce qui est chiant, c’est qu’il faut tout vider, tout ouvrir mais c’est rassurant aussi, rien ne passe.
La police est une formalité.
Change, transfert des baths restant en euro.
On achète des chocolats Nestlé avec nos derniers baths que je n’ai pu changer.
Dès 12h25 on embarque. Embarque aussi toute une colonie asiatique, tous la même tenue, tous des masques. Ils occupent tout l’arrière de l’avion.
L’avion un A320, décolle bien à l’heure.
Repas correct.
Vol sans histoire.
On regarde un film horrible : Joker. Véro trouve que c’est un pâle remake d’Orange mécanique.
De la violence gratuite.
Atterrissage avec une demi-heure d’avance. En plus du papier pour l’immigration, il a fallu remplir un document sur notre état de santé et préciser les pays que nous avions visités.
Dès la sortie de l’avion le bus, et dès la sortie du bus tout le monde passe devant une caméra thermique qui affiche sur écran des couleurs qui vont du vert à l’orange.
Remise du document santé, passage de l’immigration, on n’a jamais fait aussi vite.
On attend les sacs devant le tapis lorsqu’un homme dit à Véro que son sac n’est pas arrivé. Le mien est là. Ça nous paraît invraisemblable, le vol était direct.
On va au bureau des bagages non arrivés, et on commence les démarches, quand soudain, le mec qui nous avait informé de l’absence du sac, nous amène le sac de Véro qu’il a reconnu parce que c’était le même que le mien, avec un ruban bleu blanc rouge. On ne saura jamais comment il avait obtenu cette information pourrie
Sortie, changement des carte SIM, on remet celle du Sri Lanka qu’on fait recharger.
On va prendre un taxi au bureau qui gère les courses prépayées. L’employé reste bouche bée quand Véro lui dit, dans la conversation que je conduis et que j’ai mon permis Sri Lankais.
On a maintenant à faire à des gens de moins de 35 ans, qui n’étaient pas nés lorsque nous sommes venus pour la première fois.
Colombo, l’hôtel est bien. Accueil un peu rigide parce qu’il a fallu démontrer que lorsque j’ai retenu j’ai payé aussi les petits déjeuners. Ce n’est jamais clair dans Booking, ce qu’on a pris ou pas, à part le prix de la chambre.
On se pose et on part à la recherche d’un resto. On tourne un peu en rond et on arrive au Dolce Italia.
Pas de bière, pizzas chères, et une ambiance mafioso.
On dîne et retour à l’hôtel.
Douche
Blog
Dodo.
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