mardi 24 décembre 2019

Mirissa

La nièce et la tante dont Jno a gardé les sacs. 


La nuit n’a été ni très bonne ni très mauvaise. Pour Véro ça a été une bonne nuit.
J’avais oublié hier soir de sortir mon bandeau pour les yeux et ce matin le jour m’a réveillé de bonne heure.
Le petit déjeuner très bien, occidental et à un prix correct pour un hôtel à touristes.

On va se baigner. La plage est presque vide il est 9h30 et les affalés sur lit de plage doivent encore être affalés dans leur lit.
Quelques bonnes vagues pour le plaisir et puis on revient à l’hôtel.

Ce matin on donne à laver quelques affaires qui seront prêtes demain. Les vêtements  sont pesées ça fera 400 roupies.
On fait les quelques magasins de la rue, Véro veut s’acheter un short. Essai de shorts pour touristes dans une boutique cingalaise. Sur Véro ça fait comme un tutu flottant pour un autre âge, rigolo ici.
Boutique suivante tenue par une Allemande, il n’y a plus qu’un short pour la taille de Véro. Il est bien, coupé à l’occidentale. La vendeuse dit que ce sont des shorts de marque fabriqués ici.
On passe à l’ATM de la People Bank qui prend ma MasterCard alors que le Routard dit que cette banque ne prend que la Visa.

On déjeune dans un « restau » pour cingalais. Chaque part est à 40 roupies. Ça fait 80 roupies pour nous deux soit 80 divisé par 200 égal 40cts d’euro. C’est certainement pas le meilleur marché puisqu’on est dans un lieu touristique. Le côté étouffe chrétien et arrache gueule va  calmer notre estomac pour l’après-midi.

Véro prend son matériel de peinture et on va s’installer sur une petite terrasse de bistrot qui domine la plage.

Après avoir tout remis le matériel à l’hôtel on revient sur la plage voir le coucher du soleil.
Des cingalais jouent au rugby sur la plage. Plutôt insolite ici où il n’existe que le cricket. En Espagne la télé présente toujours du foot, ici la télé présente toujours du cricket.

Au bord de la petite crique à gauche du rocher des perroquets, Véro fait des photos et je m’assieds sur un rocher pour attendre. Deux femmes cingalaises posent leur sac sur le rocher à côté de moi et me disent en filant à l’eau : « keep the bags please » et me voilà devenu gardien de sacs.
Elles sont habillées de leggings noirs sur leurs jambes et d’un haut qui leur recouvre les fesses. Lorsque Véro me rejoint je lui explique la situation et je lui dis que bientôt nous serons tous nous aussi en Burkini compte tenu du réchauffement climatique.
On voit encore des adultes rouges de soleil, des enfants nus sur la plage comme si les messages de prévention n’existaient pas et comme si tout le monde ignorait que notre capacité à supporter l’ensoleillement est limité.
Après le bain ce matin vers 10h30, je suis retourné à l’hôtel prendre nos lunettes de soleil parce que nous venons nous baigner avec rien. Au niveau du passage qui permet de quitter la plage et de rejoindre l’hôtel un homme petite cinquantaine, bedonnant allongé sur un lit de plage, un bonnet de père Noël sur la tête s’exposait au soleil. Quand nous sommes revenus sur la plage vers 14h il n’avait pas bougé. Vers 16h nous l’avons vu passer sur la plage, avec sa femme qui était là aussi, pour vraisemblablement regagner son hôtel.

On s’installe au même endroit qu’hier pour boire une bière, car ils font tarif  happy hour et pour attendre le coucher du soleil.
Ce  soir il n’y a pas de nuages et on pense qu’on va avoir pour la photo le disque du soleil rouge posé sur l’horizon. Mais non l’horizon avait caché quelques nuages pour nous embêter.

On repasse par l’hôtel avant d’aller dîner sur la plage.
Pour être en accord avec la fête de la consommation on s’offre un dîner de Noël, poisson choisi sur l’étal et grillé.
Très bon, Rien à dire c’est parfait.

On n’attend pas l’heure du Père Noël on rentre à l’hôtel.

Blog.
Douche.
Dodo.








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