Colombo-Ambalangoda

Le resto qui a maintenant des serviettes en papier

Il a plu toute la nuit.

Hier soir mauvaise nouvelle la jeune chienne de Nicolas est morte, percutée par une voiture.

Difficile de s’en dormir après une telle nouvelle et le chagrin de Nicolas.

Petit déjeuner à The Bread Company comme tous les matins.

Après on boucle les sacs et on attend le chauffeur qui évidemment ne trouve pas ce lieu introuvable.

En attendant on regarde les avis qui nous ont fait choisir ce lieu et on n’en revient pas de tous ces avis dithyrambiques avec des notes de 10 sur 10.

Le manager doit bien savoir gérer sa com. C’est vrai qu’il est sympa il nous a accueilli à 6h du matin alors que la chambre n’était louée que pour 14h. Aujourd’hui il nous a laissé la chambre jusqu’à l’arrivée du chauffeur, il est déjà 13h au lieu de midi. Il n’empêche que le logis en lui-même est trop cher pour la prestation proposée. J’ai loué pour un hôtel mais c’est aussi présenté comme une auberge de jeunesse sur certains sites. Merci Booking.

Le chauffeur arrive avec notre voiture louée. C’est la même que celle de l’an dernier, mais elle a pris 20 000km.

Une heure pour sortir de Colombo et une heure jusqu’à Ambalangoda.

15h30 on arrive il ne fait pas très beau.

On s’installe dans la chambre, petite mais avec une grande terrasse qui donne sur l’océan.

C’est petit quand même. On accède au lit par un seul côté et il est enveloppé d’une moustiquaire, très catalogue mais pas du tout pratique.

Lorsque notre ami arrive on lui fait par de nos réserves. On visite les 2 autres chambres. Une au rez-de-chaussée prolongée par une terrasse qui arrive directement sur la plage. Mais pas de clim. Une autre à l’étage à côté de la nôtre, plus grande, 2 lits, mais le bruit de la route. On opte pour l’espace et le bruit de la route. Déménagement.

C’est root quand même, rien pour poser les affaires, salle de bain à l’extérieur eau à la température locale, propreté sri lankaise.

Une fois bien installés on va dîner dans un petit restau pour locaux.

Les noodles sont préparés devant nous et c’est très bon. Un vrai plat sri lankais sans poivron ce qui est de plus en plus rare dans le monde.

Véro qui ne peut comme vous le savez, manger sans serviette, en demande une sans se poser la question du lieu. Aussitôt le patron  envoie un employé acheter un paquet de serviettes en papier. On a droit à la satisfaction des clients venus chercher un take away et qui repartent en prenant une serviette dans le paquet posé sur notre table en nous faisant un sourire complice et de remerciement.

Retour au couchage, le gardien, frère du patron nous explique qu’il part et qu’il va nous enfermer à l’intérieur parce la porte ne se ferme que de dehors. On lui explique que ce n’est pas possible, alors il nous ouvre la porte de la chambre du rez-de-chaussée qui elle ferme de l’intérieur et par laquelle on pourra sortir au cas  où…

Il part et revient demain matin à 6h pour nous préparer le petit dej.

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Douche.

Dodo.