Mirissa beach |
La nuit s’est bien passée pour nous deux. Comme quoi on peut
se faire au bruit et au jour pour dormir.
Ce matin le breakfast n’est pas prêt. La qualité
professionnel d’hier s’est perdue, il nous faut attendre je ne sais quoi.
On petit déjeune et on prend la route content de quitter ce
lieu un peu inhospitalier.
La route du Sud Hikkaduwa, Galle, Unawatuna, Kogola,
Weligama et l’île de Taprobane, Mirissa.
On trouve facilement l’hôtel qui cette fois est un vrai hôtel
avec des professionnels qui sont là pour gagner leur vie, pas pour nous
arnaquer.
Après l’installation on fait un tour sur la plage. C’est
envahi par des touristes allongés sur des lits de plage et qui attendent (quoi ?)
sous un soleil de plomb en buvant des
bières. Des Russes ?
On va déjeuner dans le village qui est de l’autre côté de la
route, c’est-à-dire opposé à la plage. Un restaurant simple, les prix affichés
correspondent bien à la note finale, pas de taxes ni de service. On laisse donc
un pourboire au jeune serveur qui est ravi.
De retour à l’hôtel on se change, maillots de bain et
direction l’océan. On n’est pas pile sur la plage mais entre notre chambre et
l’eau on doit mettre 2 minutes à pied grand maximum.
L’océan a une température idéale et des vagues en mode
expert pour nageur sûr de lui. Car la vague se montre parfois inattendue et il
ne faut pas s’affoler pour ne pas lutter contre sa puissance et se faire mal. Ça
nous convient bien et on joue avec pendant une heure. Véro me dit, débutant
s’abstenir.
Autour de nous il n’y a que de jeunes cingalais et quelques
jeunes touristes. Où sont les vieux ? Sur les chaises longues ou chez
leurs enfants pour fêter Noël.
Retour à l’hôtel pour se doucher et se changer.
Retour sur la plage pour l’heure de la lumière et le temps
des photos. On va du côté du rocher des perroquets et on se pose pour attendre
le coucher du soleil en buvant une bière Lion Lager. On en commande une chacun
parce qu’on a oublié qu’ici la bouteille c’est 625ml. On est donc installé pour
un moment et en plus c’est l’heure où la bière est moins chère, 1€70 la
bouteille. On profite bien du coucher du soleil.
En 1992 sur cette plage il n’y avait rien, qu’une cahute
guest house dans laquelle nous avions dormi avec les trois enfants. Toute la
nuit le bruit de l’océan ne nous avait pas rassurés et on nous avait dit de ne
pas nous baigner, il est vrai que c’était au mois d’août.
Retour à l’hôtel compte tenu de la nécessité engendré par la
bière.
Puis on descend au resto chinois juste à côté de l’hôtel.
Choix judicieux parce qu’il se met à pleuvoir.
On nous présente le menu et on se rend compte qu’il n’y a
rien de chinois. On demande et le serveur nous dit qu’il ne nous a pas donné le
menu chinois parce qu’habituellement les gens n’aiment pas manger chinois.
Des gens peuvent entrer dans un restau chinois et ne pas
aimer manger de la cuisine chinoise. Des Russes ?
Pour nous soupe de noodles et momos.
C’est parfait. Sauf pour les prix, ici ce n’est plus le Sri
Lanka, les occidentaux et surtout les Russes ont tout envahi et fait flamber
les tarifs.
On regagne l’hôtel.
Blog.
Douche.
Dodo.
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