Polhena

Polhena

Réveil tôt avec le jour.

Petit déjeuner à 8h00. Cette fois on a des fruits.

Ce matin, c’est déménagement. On devait prendre la chambre 10 pour nous éloigner de la route et de la lumière du jour, mais les occupants on décidé de rester un jour de plus.

On nous propose la 11, niveau sonorisation et jour c’est comme la 10. On gagne aussi en surface ce qui est toujours agréable pour nous, chambre et salle de bain sont plus grandes. On perd en système d’accrochage, on perd des prises électriques. On s’adapte.

Comme il est tôt, on décide d’aller voir au Keel’s de Matara si on trouve ce que Véro cherche depuis le 22 décembre.

Et on trouve enfin les nutmeg en poudre au Keel’s, vous êtes tous invités pour le gratin dauphinois s’il y a encore des pommes de terre dans les grandes surfaces.

On va au centre-ville pour d’autres courses.

Puis on revient à Polhena voir une amie et ses enfants, qui sont installés dans une guesthouse près de cette plage.

On déjeune ensemble, et on se baigne ensemble dans une petite crique de sable près de la plage.

Puis, on va faire un tour sur la vraie plage de Polhena. C’est une belle plage, en forme de triangle qui est protégée par une barrière de corail. L’océan qui vient jusqu’à la plage est calme. C’est une plage qui est visitée par les locaux, et comme elle n’est pas très grande elle est vite envahie. Les femmes se baignent habillées, et il n’est pas simple pour les occidentales de venir en maillot une ou deux pièces.

On revient et c’est eux qui viendront à Mirissa demain.

Retour à l’hôtel, on se repose un peu. La connexion à Internet n’est pas brillante. On va sur la plage boire une bière.

Puis on va manger une pizza à DelTano’s. Pizzeria avec musiciens et table commune. Autour de la table,  des clients déjà bien avancés dans la soirée bien qu’il ne soit que 19h30. Il y a un groupe de trois musiciens pour créer l’ambiance. Un Canadien-Italien chante toutes les chansons et mime le rythme et danse, une fille bourrée jusqu’à l’extase et un de leur pote bourré, dépassé par les événements.

Ils partent avant nous. Sortie : La fille, paréo devant mais pas derrière, lui, dit adieu à tout le monde en envoyant des baisers.

Puis ils sont remplacés par une famille française avec trois enfants.

Véro pense que ce sont des « gens bien » en voyage, pas en vacances, parce qu’elle a repéré que le petit porte une chemise en batik de Pondichéry.

Retour à l’hôtel.

Douche

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Dodo.